Editos

La survenue de la pandémie liée au coronavirus, le Covid-19, et à sa pathologie virale, depuis nommée la Covid-19, ne pouvait pas être ignorée par le site Fertile Vision. Ainsi fut ouverte une rubrique « spécial Covid 19 » démontrant combien la bioéthique pouvait être une arme pour chacun d’entre nous face à la crise sanitaire mais aussi pour sa gouvernance dans notre démocratie.

La survenue de la pandémie liée au coronavirus, le Covid-19, et à sa pathologie virale, depuis nommée la Covid-19, ne pouvait pas être ignorée par le site Fertile Vision. Ainsi fut ouverte une rubrique « spécial Covid 19 » démontrant combien la bioéthique pouvait être une arme pour chacun d’entre nous face à la crise sanitaire mais aussi pour sa gouvernance dans notre démocratie.

L’éthique et ce qui justifie les droits de l’homme ont une place centrale dans la gestion de la crise d’une pandémie comme celle du Covid-19.

Le site Fertile Vision rend publique l’analyse des résultats des votes interactifs du premier débat public sur les aspects éthiques de la transplantation utérine, communément appelée greffe d’utérus.

Le site Fertile Vision rend publique l’analyse des résultats des votes interactifs du premier débat public sur les aspects éthiques de la transplantation utérine, communément appelée greffe d’utérus.

Dans moins de 5 ans, un prérequis suffisant ouvrirait la perspective que des fœtus dont la vie est menacée en troisième partie de grossesse puissent bénéficier d’un placenta artificiel. Dans moins de 10 ans, les premiers gamètes artificiels permettraient d’éviter le recours au tiers donneur et à tout ce qui est débattu aujourd’hui à ce sujet. 

Dans moins de 5 ans, un prérequis suffisant ouvrirait la perspective que des fœtus dont la vie est menacée en troisième partie de grossesse puissent bénéficier d’un placenta artificiel. Dans moins de 10 ans, les premiers gamètes artificiels permettraient d’éviter le recours au tiers donneur et à tout ce qui est débattu aujourd’hui à ce sujet. De même, la greffe d’utérus, greffe d’organe pour transmettre la vie et non pas la sauver, pourrait ne plus être expérimentale et répondre dans une certaine mesure aux demandes féminines de gestation pour autrui, en attendant pour des horizons bien plus lointains, l’ectogenèse c’est-à-dire l’utérus artificiel.

Dans moins de 5 ans, un prérequis suffisant ouvrirait la perspective que des fœtus dont la vie est menacée en troisième partie de grossesse puissent bénéficier d’un placenta artificiel. Dans moins de 10 ans, les premiers gamètes artificiels permettraient d’éviter le recours au tiers donneur et à tout ce qui est débattu aujourd’hui à ce sujet. 

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