La pandémie Covid-19 illustre par ses conséquences médicales, sociales et économiques, la dimension de catastrophe1 avec ses redoutables psycho-traumatismes particulièrement subis par les plus vulnérables d’entre nous au premier rang desquels, les personnes d’un grand âge et leurs éventuelles comorbidités.

La pandémie Covid-19 illustre par ses conséquences médicales, sociales et économiques, la dimension de catastrophe1 avec ses redoutables psycho-traumatismes particulièrement subis par les plus vulnérables d’entre nous au premier rang desquels, les personnes d’un grand âge et leurs éventuelles comorbidités.

Le Coronavirus Covid-19 a déclenché une guerre mondiale déclarée en janvier 2020. Aucun pays, aucune culture, aucune collectivité n’est épargnée. Aucun d’entre nous, à titre individuel, n’échappe au risque potentiel d’une contamination aux conséquences imprévisibles.

Face à ce constat, la bioéthique est-elle une arme à la portée de chacun d’entre nous ?

Le Coronavirus Covid-19 a déclenché une guerre mondiale déclarée en janvier 2020. Aucun pays, aucune culture, aucune collectivité n’est épargnée. Aucun d’entre nous, à titre individuel, n’échappe au risque potentiel d’une contamination aux conséquences imprévisibles.

Face à ce constat, la bioéthique est-elle une arme à la portée de chacun d’entre nous ?

Lors du passage de l’éthique au droit, la courte histoire des législations en matière de bioéthique démontre bien que trop de normes tuent la norme et que la France (1994) comme le Royaume-Uni (1990) ont fait le bon choix d’une loi-cadre en matière de bioéthique.

Dans moins de 5 ans, un prérequis suffisant ouvrirait la perspective que des fœtus dont la vie est menacée en troisième partie de grossesse puissent bénéficier d’un placenta artificiel. Dans moins de 10 ans, les premiers gamètes artificiels permettraient d’éviter le recours au tiers donneur et à tout ce qui est débattu aujourd’hui à ce sujet. 

Dans moins de 5 ans, un prérequis suffisant ouvrirait la perspective que des fœtus dont la vie est menacée en troisième partie de grossesse puissent bénéficier d’un placenta artificiel. Dans moins de 10 ans, les premiers gamètes artificiels permettraient d’éviter le recours au tiers donneur et à tout ce qui est débattu aujourd’hui à ce sujet. De même, la greffe d’utérus, greffe d’organe pour transmettre la vie et non pas la sauver, pourrait ne plus être expérimentale et répondre dans une certaine mesure aux demandes féminines de gestation pour autrui, en attendant pour des horizons bien plus lointains, l’ectogenèse c’est-à-dire l’utérus artificiel.

Dans moins de 5 ans, un prérequis suffisant ouvrirait la perspective que des fœtus dont la vie est menacée en troisième partie de grossesse puissent bénéficier d’un placenta artificiel. Dans moins de 10 ans, les premiers gamètes artificiels permettraient d’éviter le recours au tiers donneur et à tout ce qui est débattu aujourd’hui à ce sujet. 

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